captatio

vertu vient de vir i.e. le mâle.

Seul le mâle aurait la force de caractère nécessaire pour vertueux. La femme, sexe faible, ne pouvant l'être véritablement... selon l'étymologie et la mythologie gréco-romaine

idée

Paul : « Sans cesse nous nous souvenons que votre foi est active, que votre charité se donne de la peine, que votre espérance tient bon en notre Seigneur Jésus Christ, en présence de Dieu notre Père. »

Foi, espérance et charité = les 3 vertus théologales.

CEC 1842

Par la foi nous croyons en Dieu et nous croyons tout ce qu'Il nous a révélé et que la Sainte Eglise nous propose à croire

CEC 1843

Par l'espérance nous désirons et attendons de Dieu avec une ferme confiance la vie éternelle et les grâces pour la mériter.

CEC 1844

Par la charité nous aimons Dieu par-dessus toute chose et notre prochain comme nous-même pour l'amour de Dieu.

Ces 3 vertus sont dites théologales:

CEC 1840

Les vertus théologales disposent les chrétiens à vivre en relation avec la Sainte Trinité. Elles ont Dieu pour origine, pour motif et pour objet, Dieu connu par la foi, espéré et aimé pour Lui-même.

cadeau gratuit de Dieu, sans mérite, sans besoin d'une quelconque force de caractère.

Don gratuit pour qui l'accepte, homme et femme.

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grêve de la faim: un droit et un crime

idée

Différence avec les vertus humaines ou morales

qui sont humainement acquises: éducation, effort, pratique du bien etc.

Les 4 plus importantes ou vertus cardinales sont:

la prudence, la justice, la force, la tempérance...

Vertus humaines mais non pas réservés aux hommes et femmes de caractères, virils. En effet, les vertus humaines sont elles-mêmes purifiées et élévées par la grâce divine...

Ainsi, celui ou celle qui s'ouvre aux vertus théologales deviendra toujours plus vertueux quant aux vertus morales.

S'ouvrir activement à la grâce de Dieu nous rend fort à faire le bien.

C'est Dieu qui est premier, Dieu qui agit, mais nous ne sommes pas passifs.

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Il ne suffit pas d'avoir des capacités physiques: il faut de la technique et de l'entrainement (parfois pénible)

conclusion

« rendez à César ce ui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu »

mais n'oublions pas que César lui-même est entre les mais de Dieu, appartient à Dieu.

Tout ce que nous avons à Dieu pour origine et doit l'avoir pour motif et pour fin. Et cela doit se traduire dans l'exercice pratique de notre existence, dans notre être et notre agir moral vertueux.