« Tout ce mal vient du dedans, et rend l'homme impur »

dedans, en nous, du dehors etc...

ce n'est pas le mal ambiant qui souille l'homme, c'est le mal qu'il fait, pense...

et le bien qu'il ne fait pas : en pensée, en parole, par action, par omission.

il ne sert donc à rien de fuir le monde, si le mal est en nous, on l'emporte avec nous!

île déserte ou monastère

si le mal est en nous ?

s'il vient du dedans alors nous sommes la source du mal, responsable et coupable

serpent dans le jardin : extérieur

même le bourreau est victime du mal. Complice mais pas instigateur

le mal originel touche tout homme certes mais nous en sommes débarrassés par le baptême : C5 concile Trente

1Jn [7] Mais si nous marchons dans la lumière comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres, et le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché.

et pourtant nous retombons sous son joug:

[8] Si nous disons : " Nous n'avons pas de péché ", nous nous abusons, la vérité n'est pas en nous.

nous sommes donc au minimum complice mais Dieu nous pardonne

[9] Si nous confessons nos péchés, lui, fidèle et juste, pardonnera nos péchés et nous purifiera de toute iniquité.

le mal vient du dehors

il n'est pas naturel à l'homme (Jésus homme sans péché)

mais tout homme (sauf grâce spéciale) est conçu tâché par le péché, tâche imprégnée

le baptême nous lave dans le sang de l'agneau : restaure la nature humaine, la ressemblance divine

le péché nous salie encore de l'extérieur avec notre complicité: tâche superfitielle enlevée même pour les plus graves à chaque confession

merci pour les prêtres ministres de ce grand nettoyage!